Le viager s’adresse à la population senior qui souhaite répondre à un certain nombre d’objectifs :
- Rester habiter chez soi,
- Percevoir un complément de revenu,
- Protéger son conjoint, aider ses enfants et ses petits-enfants,
- Prévoir le financement de la maison de retraite.
- Organiser sa succession de son vivant.
La vente en viager est un mécanisme simple mais cependant complexe juridiquement.
Avant tout, pour toute vente en viager, vous devez être accompagnés par un professionnel qui vous apportera l’expertise nécessaire à la pleine réussite de votre projet.
C’est cet accompagnement que je propose à tous mes clients, et je suis à la disposition et à l’écoute pour toute personne désireuse d’obtenir une étude personnalisée.
Le Viager, c’est quoi ?
La vente en viager consiste à « aliéner tout ou partie de son capital immobilier », moyennant le versement d’une rente viagère pendant toute la durée de sa vie. Le débirentier est la personne qui verse la rente. Il en aura la pleine propriété au décès du crédirentier et de son conjoint dans le cadre d’un viager occupé. Il en aura la pleine propriété immédiatement pour un viager libre. Le crédirentier est la personne qui touche la rente. Il peut conserver le droit d’usage et d’habitation.
A qui s’adresse ce type de vente/achat ?
- Pour le vendeur qui souhaite améliorer sa retraite ou qui souhaite hériter de lui-même.
- Pour l’acquéreur qui souhaite investir/capitaliser pour sa retraite ou acquérir un bien immobilier en toute sécurité, pour plus tard.
Nombreuses questions se posent pour vous :
Quels sont les différentes formes de vente en viager ?
Le bouquet, c’est quoi ?
La rente est-elle indexée ?
Quelle est la fiscalité du bouquet ? De la rente ?
Quelles sont les garanties liées à ce type de vente ?
Quelle est la répartition des charges, des petites réparations, des gros travaux ?
L’acquéreur peut-il revendre le bien acquis en viager ?
Cela pourrait être un achat paisible ?
Mais quels sont les avantages du vendeur ?
Et ceux de l’acquéreur ?
De quoi faut-il s’assurer ?
CONCLUSION. Le sujet nécessite de nombreuses questions/réponses. Nous n’avons pas parlé du mécanisme de la rente viagère, de l’indexation de celle-ci, des indices, des modes de calcul, de l’utilisation de sources de données, des tables d’espérance de vie rétrospectives ou perspectives, des tables génération Femmes/Hommes 2005, de l’évaluation, primordiale, par méthode de comparaison de la valeur vénale du bien dont s’agit, de l’espérance de vie moyenne présumée des vendeurs, des différentes méthodes d’évaluation du droit d’usage et d’habitation, des moyennes obtenues, des indices retenus, des clauses d’annulation, et de tellement d’autres choses encore (telles que la plus-value, les clauses de protection, des articles du code civil 605 et 606, 1974, 918, 1968 et autres, du certificat de vie, etc… Il s’agit d’un vrai métier.
Je suis votre interlocutrice, à vous écoute, patiente et professionnelle.